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Village de Kafngoune :
1- La case de santé : L’étude des dossiers médicaux a permis de constater que la courbe de poids de 5 enfants était située en dessous de la courbe normale.Après concertation avec les personnes en charge du suivi médical de chaque enfant, nous pensons que ces 5 enfants sont plus vulnérables à l’hivernage.Cela démontre que nous devons continuer à être vigilants quant au suivi des enfants. Yakaar a décidé de poursuivre son action dans ce sens et finance l’alimentation pour ces enfants jusqu’en juin 2018.
2- Plusieurs réunions d’information sur la contraception ont été organisées. Nous avons reçu les femmes qui viennent seules ou accompagnées de leur mari. Le coût très bas des plaquettes de pilules 200 FCFA (0,30 cts d’€) ou l’implant, incitent les femmes à y avoir recours
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3- Le maraîchage : depuis 4 ans Yakaar avait initié un projet de maraîchage dans ce village.
Les objectifs étaient de procurer quelques revenus financiers aux femmes et de les rendre autonomes dans certains domaines.
Pour y parvenir Yakaar avait financé un groupe électrogène, une pompe, des bassins de récupération, des tuyaux, une clôture.
Nous avons également organisé le soutien et avons signé avec l’association ACCES un partenariat qui permet l’encadrement dans le long terme des femmes dans cette activité.
Les efforts ont permis de rendre les femmes autonomes et compétentes dans la gestion de ce maraîchage.
Les objectifs étaient de procurer quelques revenus financiers aux femmes et de les rendre autonomes dans certains domaines.
Pour y parvenir Yakaar avait financé un groupe électrogène, une pompe, des bassins de récupération, des tuyaux, une clôture.
Nous avons également organisé le soutien et avons signé avec l’association ACCES un partenariat qui permet l’encadrement dans le long terme des femmes dans cette activité.
Les efforts ont permis de rendre les femmes autonomes et compétentes dans la gestion de ce maraîchage.
4- Concernant les micros crédits : ils sont tous été remboursés depuis octobre 2017. Ces micros crédits ont permis de mettre en place certaines activités rémunératrices pour certaines femmes.
5- Concernant les talibés les actions nt été poursuivies auprès de ces enfants. Yakaar a financé des petits déjeuners et des consultations pur les enfants malades.
6- Activités ludiques pur les enfants Yakaar a réorganisé des ateliers peinture, cuisine mais aussi des sorties encadrées en pirogue.Yakaar a porté ces projets et est fière du chemin accompli. Des activités procurant des revenus, une autonomie complète dans ces domaines autorisent désormais un peu plus de bien être dans la vie quotidienne des villageois.
Mais d’autres villages, d’autres populations sont en souffrance et Yakaar va porter ses efforts un peu plus loin. La Casamance est une région située au sud du Sénégal. Elle est caractérisée par un exode massif des populations rurales vers le grand centre urbain qu’est Ziguinchor. Pourtant la ville ne propose que très peu d’infrastructures ce qui ne permet pas de proposer d’emplois au millier de personnes arrivant dans la ville.
La conséquence immédiate est l’appauvrissement des villes et des campagnes. Lors de différents séjours dans cette région et en particulier sur l’île de Carabane, nous avons rencontré des femmes ainsi que le chef du village. Ces échanges ont permis de comprendre leur manque de moyens dans différents domaines. C’est dans ce contexte que Yakaar souhaite désormais investir son temps et les moyens dont l’association dispose. Nous avons signé avec le chef du village un partenariat autorisant la mise en place de certaines actions. Dans un premier temps le bureau de Yakaar a accordé un micro de 300 000 FCFA (450€) pour 10 mois aux 42 femmes appartenant au GIE.
La conséquence immédiate est l’appauvrissement des villes et des campagnes. Lors de différents séjours dans cette région et en particulier sur l’île de Carabane, nous avons rencontré des femmes ainsi que le chef du village. Ces échanges ont permis de comprendre leur manque de moyens dans différents domaines. C’est dans ce contexte que Yakaar souhaite désormais investir son temps et les moyens dont l’association dispose. Nous avons signé avec le chef du village un partenariat autorisant la mise en place de certaines actions. Dans un premier temps le bureau de Yakaar a accordé un micro de 300 000 FCFA (450€) pour 10 mois aux 42 femmes appartenant au GIE.
Ce micro crédit va permettre de faire du petit commerce pour nourrir plus facilement leur famille (ramassage du bois, des huitres, fabrication du pain, récolte du vin de palme). C’est un premier projet déjà en place et d’autres viendront bientôt. Lors de mon départ, en signe de reconnaissance, ces femmes m’ont offert un sac de riz et les habitants de l’île des gâteaux et des boubous. Beaucoup de précarité… !!! Mais tellement de chaleur… !!!
Yakaar suivra désormais les actions en Casamance.
Comme vous l’aurez constaté, notre association reste toujours et encore dynamique.
Le suivi de projets existants ainsi que de nouvelles orientations à nos actions témoignent de notre volonté à œuvrer toujours et encore dans la difficile mission de donner un peu plus de bien être à ces populations si démunies.
Merci à vous tous de nous accompagner dans cette belle aventure. Vos dons sont et seront précieux pour améliorer le quotidien de ces femmes.
Pour mieux comprendre nos actions, n’hésitez pas à visiter notre site : Yakaar.fr